Nom : Diss
Prénom : Emile
Date et lieu de
naissance : né en 1894 à
Saverne ( en Alsace )
Situation familiale : un père et une mère fils unique ,
marié , il a eu une fille(nommée Geneviève)
Métier ~
formation : chef électricien ( éclairagiste ) des théâtres de Paris.
Corps grade et lieu de
bataille : sur son corps, il y avait des insignes .Il était
colonel et a fait les batailles de Dardanelles
Date et genre de
mort : mort le 11 Mai 1930 par une crise cardiaque.
Signes particulier :
aucuns signes particuliers.
Que faisait il pendant
la guerre ?
Pendant la guerre , il s’ occupait de donner certains ordres
à l’armée française
A
l’attention de Jean baptiste Léon
Nous
sommes, comme vous le savez peut être
déjà en train d’entamer la 2ème année de cette guerre qui semble
déjà interminable. Le problème est que, si nos poilus ont de quoi se sustenter,
et mangent à leur faim, en ce qui concerne nos munition, nous sommes en
véritable pénurie.
Nous n’avons pas su économiser convenablement nos ressources, nous sommes dans l’obligation de nous battre au corps à corps à l’aide de baïonnettes…
Nous n’avons pas su économiser convenablement nos ressources, nous sommes dans l’obligation de nous battre au corps à corps à l’aide de baïonnettes…
Le danger est omniprésent, nos soldats commencent à être
insupportés du fait de se battre dans ces horrible conditions, au milieu des
cadavres et des rats ; le froid et la peur sont de rigueur.
Alors que la majorité des soldats croient à un trépas inévitable, je me tourne vers vous, Jean baptiste Léon, vous qui êtes à ce jour le plus grand munitionniste que je connaisse. J’aimerais que vous nous fournissiez en armes, car, je vais être honnête avec vous, les soldats ne supportent plus le fait de se battre au corps à corps. Je vous prie donc, mon cher Jean baptiste Léon de nous aider.
Alors que la majorité des soldats croient à un trépas inévitable, je me tourne vers vous, Jean baptiste Léon, vous qui êtes à ce jour le plus grand munitionniste que je connaisse. J’aimerais que vous nous fournissiez en armes, car, je vais être honnête avec vous, les soldats ne supportent plus le fait de se battre au corps à corps. Je vous prie donc, mon cher Jean baptiste Léon de nous aider.
Avec mes
plus sincères mots,
Emile Diss, colonel de l’armée française
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